• Chapitre 41

    W.W. 41

    Je pris la main d'Ace qui me releva et debout, je pris la main de Léandre pour le relever. J'avais donné une main à chacun d'eux. Ils avaient tous les deux l'air effaré. Je souris et pris la parole: « Léandre, je veux savoir ce que tu veux me cacher. Je vais donc suivre Ace. Mais je te propose de nous suivre. »
    Léandre était debout, son visage s'était décomposé, précisément à la phrase « Je vais suivre Ace ». Il avait faillit faire une crise cardiaque. Par contre Ace était aux anges. Par contre Léandre, lui était d'abord surpris, désemparé, re-surpris et pour finir vaincu. Ce qui fit encore plus plaisir a Ace. J'en déduis que ce n'était pas les meilleurs amis du monde. Ace me tira et je tirai Léandre par la même poussé. On marcha tous ensemble, main dans la main, c'était étonnamment ... Bizarre. Mais bon je laissai passer. Ace et Léandre savait où ils allaient. Par contre moi j'avais presque l'impression de me faire porter par de hom... Personne très très pressé. Ils tournèrent à droite, à gauche, à droite, à droite ... Après une demi-heure de marche,  on été arrivé dans un couloir sombre et étroit avec des toutes petites fenêtres situé en hauteur. Pour passez nous avons dut nous mettre les uns derrière les autres. Après quelques minutes de marche supplémentaire, nous tombâmes sur une pièce sombre. Tellement sombre que l'on y voyait rien. Mais absolument rien. Je sentis que Léandre me lâchait la main et une lumière se créa dans ses  mains. Pas une lumière normale... C'était une flamme. Une douce flamme. Par contre elle éclairait la pièce d'une manière inquiétante. Je me tournai et découvris une pièce exigüe, sans fenêtres et en son centre ... Une épée... Une magnifique épée avec un manche bleu et une lame transparente. Cette épée était enfoncée dans une grande pierre noire.
     Léandre avança jusqu'à la pierre et Ace me lâcha la main. Il l'a mit dans mon dos et me fit avancer jusqu'à l'épée. Léandre me regarda et dit : «  Maintenant Angélique tu dois la faire sortir de la pierre ... » Je rigolai. Ils me regardèrent surpris. Je dis : « Non sérieusement ? » Ils hochèrent la tête. « Comme dans Merlin l'enchanteur ? » Leurs yeux s'agrandirent encore. « Vous ne connaissez pas Merlin l'enchanteur ? Vous savez l'histoire d'Arthur ? Et de l'épée magique,  Excalibur l'épée légendaire qu'une seule personne peut sortir de la roche ? » Ace s'approcha de l'épée et la sortit de la pierre. « Je ne connais pas ton histoire Excalibour mais par contre tous le monde peut la sortir de là mais qu'une personne peut l'utiliser. Et on dit que cette personne c'est toi demi-hunter. » Il me la tendit. « Aller Angie... » Léandre grogna et je pris cette épée des mains d'Ace. Elle me paraissait plus légère dans mes mains que dans celles d'Ace. Je la fis un peu tournoyais et tous les gestes que je faisais avec elle, me semblèrent naturelles. On sortit tous ensemble de cette petite pièce. Et après un quart d'heure de marche nous revîmes la lumière du soleil. Léandre me pria de cacher l'épée jusqu'à ma chambre. Arrivé dans ma chambre, et après avoir caché l'épée sous mon T-shirt pendant 20 minutes, je regardai cette épée quelque minute. Ace et Léandre était ravis, de mon intérêt pour cette lame. Léandre pris la parole : « Cette épée s'appelle la larme de fer. Elle a été maniée par ta mère, ton grand-père et un si de suite. Elle est aussi appelé la double lame. Sa légende raconte que : Quand elle est dans les mains de sa vrai maîtresse, sa forme de combat initial peut refaire surface. Mais cela n'est restait qu'une légende. » Ace me prit le bras et me fit avancer jusqu'à mon mur. Il le regarda intensément et j'en déduis que, différemment de moi, il ne voyait pas qu'un papier-pain blanc avec des fleurs d'un autre blanc... Il approcha sa main de l'une d'elle et la redessina des ses doigts. Ils remontaient la tige et finissaient avec les pétales. Cette fleure passa du blanc au rouge et le mur s'effaça pour laisser place ... A une ... Armurerie ? Des centaines d'épée, couteaux, arcs, flèches de toutes sortes, sabre et même ce qui ressemblait à des bombes...Je me retournais vers deux gamins qui bavaient devant la multitude d'armes sur mon mur. Je dis : « Euh ... A quoi c'est sensé me servir ? » Leurs sourires ne se fit que plus grand ... « Mais pour te battre voyons ... »
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