• W.W. 4
     
    « Non je suis venu te chercher... » Je lâchai l'assiette que j'allais poser dans l'évier. Je me plaquai contre le frigo et posa mes yeux sur lui. « Tu dis venir me chercher mais pour m'emmener ou ? Et pourquoi ? » Il me sourit et releva la tête. Il posa ces yeux sur moi, et dans ces yeux l'on voyait qu'il s'attendait à ma réaction. Je pris peur, quand il se leva et courrai vers le salon, je pris mes clés... J'étais effrayée, je n'aurais pas dût rester dans la cuisine tous ce temps... Je courrai dans le couloir, pris les escaliers et au bout de quelques marches je glissai. Et m'étalai de tout mon long sur le sol. J'observais mon genoux, et remarquais que mon jean était taché de sang. J'entendis un bruit sourd et Léandre apparu dans les escaliers. Son regard avait changé. C'est yeux étaient restés verts mais ils l'étaient totalement. Ils étaient juste coupés par une ligne noire. Léandre ressemblait à un lézard sa peau avait disparut et n'avait laissé place qu'a des écaille doré. Il me faisait peur... Il s'approcha de moi à une vitesse surnaturelle et me souleva dans les airs avec une facilité étonnante. Je voulais me dégager mais il m'en empêcha. Et me ramena devant ma porte. Il vola mes clés de ma poche. Nous entrâmes dans mon salon et il me posa sur le canapé. Il regarda un long moment ma jambe et commença à examiner une blessure que j'avais oublié tellement il faisait remonter plusieurs sentiments. De la peur, de la confiance et ... du respect. « Si tu as mal dit le moi ? » Il s'apprêtait à bander ma blessure. Et la je fis un truc que je regretterai vraiment rapidement. Vraiment, vraiment rapidement. Je m'évanouis.  
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  • W.W. 5
    Fin du Flash Back Je me réveillai donc collé à un petit dragon. Je pris peur et tombai du lit. Sans m'en rendre compte je l'avais réveillé. Il se leva à son tour et se trouva près de moi en quelques secondes. Et assise par terre je regardais cette créature miniature. Il vit que je le dévisageai et comprit que son aspect m'étonné. Il sortit de ma chambre. Je me levais a mon tour et allais dans la cuisine, j'y trouvais Léandre. Léandre en mode humain. Je m'approchai de lui en je me rendis compte que je boitai. Je regardai ma jambe avec étonnement et vis qu'elle était bandée. Il s'approcha de moi et me demanda : « Tu vas mieux Lorie ? » Je relevai la tête et le regardai : « Mmm, Oui je vais bien. Si je me souviens bien je te dois un merci. Dans ce cas merci Léandre. » Il me souri. Je m'assis à la table et lui posa la question qui me brûlait les lèvres. « Léandre, dis moi ? Ou veux-tu m'emmener ? Et aussi ? Qu'est-ce que tu es ?» Il prit un air sérieux et commença : « Je dois t'emen... » Je le coupai est criai je venais de me rendre compte que l'ont était vendredi et qu'il était déjà 7 heures 30. Je me dis que l'école ne devais pas être ma priorité, mais j'avais promit à ma tante de ne jamais raté un jour d'école si je pouvais y aller. Je courus donc dans ma chambre et m'habillai rapidement. Je me précipitai ensuite vers la porte et la une main me retient le bras. Et elle m'empêcha de partir. Je me trouvai face à un Léandre qui n'avait pas vraiment l'air content. Je bafouillais des excuses et finis par lui dire avant de partir « Je reviendrai à 15h. Attends-moi ici ! » Je partis en courant et arrivai en retard au collège. Après une journée où je m'étais torturée à penser à Léandre et à la raison de sa venue. Je me dis que je n'étais pas obligée de rentrer chez moi ... Je ne faisais pas encore confiance à Léandre. Mais quand je sortais du collège, je marchais un peu et vis Léandre qui m'attendait. Quand il me vit à son tour, il m'appela. Et je me rendis compte a quel point il était beau. Tous les regards étaient braqués sur lui. C'est marrant, moi, je me sentais imperméable à sa beauté pourtant à coupé le souffle. Je le trouvai plutôt effrayant... Très grand ... Et un visage sans le moindre défaut ... Il s'approcha de moi et me chuchota à l'oreille. « Bienvenue à Wild World ». 
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  • W.W. 6
    Léandre me sera contre lui et posa sa main sur mes yeux. J'eus l'impression de me faire aspirer. Une sensation de vide me fis perdre l'équilibre. Quand il enleva sa main, je me trouvai dans une grande salle, blanche, les murs étaient en pierre de lune et en Agate blanche. Il y avait au plafond un lustre en cristal, un sol en marbre blanc, des fenêtres en diamant. Il n'y avait rien d'autres dans cette pièce grande et lumineuse. Je restai bouche bée devant cette blancheur immaculé. La je vis Léandre partir, je couru après lui et je l'attrapa par la manche. Il me regarda longuement puis me dit :
    « T'en fais pas, reste ici, je viens te chercher dans quelques minutes. »
    Moi : « Pourquoi je dois rester ici seul ? Et ou on est ? 
    Léandre : Je ne peux pas rester pour ton teste. Nous sommes dans la salle de test.  
    Moi : De test ?  Et si je ne réussis pas ce test ? Il se passe quoi ? 
    Léandre : T'en fais pas tu es la bonne ! Tu n'as rien à faire tu dois juste rester ici.
    Moi : La bonne ? Attend dis moi ce qu'il se passe si je ne suis pas la bonne ?
    Léandre : Il me regarda gêné
    Moi : Dis-moi ! S'il te plait !
     Léandre : Euh... Je 
    Moi : Je quoi ?
    Léandre : Bon ok. Il me prit par les épaules Si tu n'es pas la bonne tu mourras Lorie mais ne t'inquiète pas. Il me sourit J'ai confiance ! »
    Il partit vite et sortit par une porte en bois blanc que je n'avais pas vu. Et la toute la douce lumière blanche s'éteignit et je sentis mon corps bruler.

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  • W.W. 7
     

    Je sentis mon corps bruler. Je ne voyais rien mais dans mon corps je sentais une chaleur insoutenable. Je tombais à genoux et me mis à haleter. Je posais mes mains sur le sol et y colla mon front. Le froid du marbre me faisait du bien, mais la douleur, elle, restait et augmentait au fur et à mesure que les secondes s'écoulaient. Ma tête était proche de l'explosion, mon estomac se tordait et mon cœur battait de plus en plus vite. J'entendais les battements pulser dans mes oreilles. Je me relevais pour appeler de l'aide. Mais quand je fus debout, je me mis à tousser, encore et encore, jusqu'à cracher du sang. Au bout de quelques minutes la douleur s'estompa, je me relevai et ouvris les yeux. Je revis la salle d'une blancheur immaculée, personne autour de moi. Je vis sur le marbre des éclaboussures de sang. Je m'appuyais sur le mur quelques minutes, et repris un souffle douloureux. Dans ma bouche, il y avait un bout acre et métallique, un gout de sang.  Je m'approchai de la porte en bois d'un doux blanc et j'essayai de l'ouvrir. Elle résista un peu mais finit par céder. J'essuyai mes mains transpirantes sur mon vieux jean et je commençai à m'avancer dans ce qui me semblait ressembler à un long couloir blanc. Mon esprit un peu ébranlé par la récente douleur que mon corps avait dut subir, n'était pas encore très claire. Je marchais un peu, sur ce qui ressemblait à du carrelage blanc dans un long couloir blanc. Je m'avançais doucement et j'arrivais devant une grande porte d'un blanc de craie. Je commençais à me demander si dans ce monde il y avait autre chose que du blanc. Moi en jean bleu déchiré, je dois bien l'avouer je ne fais pas forcement super attention à mes affaires, couvert de légère éclaboussures de sang et un T-shirt noir, qui, je tiens à le préciser, n'était pas déchiré. Mes cheveux blonds et mes yeux bleu, je trouvais que je faisais... Tache... J'ouvris cette porte et me retrouva nez à nez avec Léandre et d'autres inconnus. Je les dévisageai pendant un long moment. Au bout d'un moment Léandre s'approcha de moi, me serra dans ses bras et me dit :
    -          « Ah ! Tu es revenu ... C'est bien ! » Il avait un air rassuré mais en même temps un peu gêné.
    -          Je relevai la tête et le regardai « Attend ... Je ne suis pas sure de ce que tu viens de dire ... Si je traduis bien c'est : Ahhh ! C'est cool que tu ne sois pas morte ! Y'avait une chance sur un million que tu survives et une chance sur deux millions que ta tête n'explose pas sous l'effet de la douleur ... Mais bon ... C'est pas grave ...  » Il rougit et baissa la tête. Ce qui était assez étrange d'eu fait que depuis notre rencontre je pensais qu'il était plutôt impassible. « Maintenant tu peux m'expliquer s'il te plaît ? »
    -          « Bien sûr... Etant donné que tu es revenu... » Regard noir de ma part. « Je vais t'expliquer ... Tu as passé avec succès le premier rite de passage... Tu es maintenant Angélique Wild ! Et tu es, la princesse du plus grand royaume de notre univers. »

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  • Lorie-Angélique : « Moi ? Une princesse ? Univers ? Léandre… tu vas bien ? »
    Une des hommes présents s'approcha de moi. Il était très grand, plus grand que Léandre, il avait des cheveux épais, et noir, et des petits yeux percent et sombre. Il était si proche que son visage était collé au mien, son nez contre ma joue. Et là il me... Me renifla ? Je regardai, atterrée, les personnes autour de moi. La seule que sa avait l'air d'énerver autant que moi, c'était Léandre. Pour les autres cela paraissaient naturel, ils étaient de marbre. En parlant des autres, quand l'homme qui m'avait reniflé, arrêta, et que je pus enfin me concentrer sur autre chose, je les détaillai tour à tour. Il y avait une femme d'une trentaine d'années qui paraissait normal, petite, brune, sauf que sa peau avait un étrange reflet bleu. Comme Léandre, mais en bleu. Il y avait aussi trois hommes qui étaient, à vue d'œil très, très, très... Vieux. Ils se ressemblaient comme des triplés et la seule chose qui me permettais de les différencier c'était leurs toges de couleurs différentes. Ceux-là me dévisageaient depuis le début sans décrocher un mot. Et je remarquais que l'homme qui m'avait reniflé brillait lui aussi d'une lueur étrange mais d'un rouge sang. Je plongeais mes yeux dans les siens et je lus dans les siens une sauvagerie, une violence que les autres n'avaient pas. De lui il émanait une aura agressive et brutale. On sentait qu'il était mortel et sans pitié. En gros, pas très rassurant. Ils étaient tous habillés de toges sauf Léandre qui lui était en jean, T-shirt. Je les observais un long moment, consterné par l’air sincère de tous les gens qui m'entourés: « Donc en gros ... Vous me dites que je suis une princesse ? …Pourquoi ? »
    -          Tu es la princesse du Wild World parce que ton père est le roi. » L'homme qui était il y a deux seconde collé à ma joue, me regardais consterné.
    -          Mon père ? Je n'ai pas de père ... Il est mort quand j'étais petite ... Comme ma mère. Et je pense que je serai au courant s'il était réellement roi.
    -          Je sais que ton père est mort ! Imbécile ! » La petite femme brune donna un coup derrière la nuque, de l’homme agressif. « Il dirigeait le pays, j'étais déjà a ce poste. Je suis sure que toi pendant ce temps ... Tu étais sur un nuage rose et tu jouais avec des licornes. » J'aurai pu penser qu'il se moquait de moi, mais je voyais sur son visage qu'il était on ne peut plus sérieux. « Et ta mère ... Ta mère était un hunter.
    -         D'accord ... D'accord ... Alors d'après-vous ... Si je récapitule ... Mon père était roi et ma mère était ... Hunter ? J'ai une question pour vous ? Suis-je sensée vous croire sur parole ?
     

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